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Cascades de France

« À la base je suis photographe, je me suis mis à la vidéo récemment en 2016 lorsque j’ai décidé de filmer les chutes d’eau que je photographiais. J’ai une démarche plutôt documentaire c’est-à-dire que je filme la nature pour montrer aux futurs visiteurs à quoi ressemble les endroits qu’il va visiter. »

Louis Thibaud Chambon

Le  programme Team Wonder France  vise à faire découvrir des vidéastes talentueux au service des territoires, de partager leurs expériences, leur matériel et leurs spots. 

Peux-tu te présenter ?

« Je m’appelle Louis Thibaud Chambon, j’habite en région parisienne et j’ai créé le site de « Cascade de France.fr », qui est le site qui référence les plus jolies chutes d’eau de France. Il se trouve que j’ai participé en 2021 au Wonder France Festival, où j’ai eu la chance de gagner le Prix des Territoires. » 

 Quelle est ton approche de la vidéo ?

« À la base je suis photographe, je me suis mis à la vidéo récemment en 2016 lorsque j’ai décidé de filmer les chutes d’eau que je photographiais. J’ai une démarche plutôt documentaire c’est-à-dire que je filme la nature pour montrer aux futurs visiteurs à quoi ressemble les endroits qu’il va visiter. Finalement, je me suis rendu compte que quand je faisais des photos, cela rendait la visite un peu irréelle avec cette technique que j’utilise, la pause longue. Plus le temps passe, plus je réalise des courts films qui sont un mix entre un documentaire classique et des images envoutantes à regarder.« 

Ton matériel

« Après 15 ans d’expériences, j‘ai beaucoup d’équipement photos et vidéos : un Canon R5  avec différents objectifs, du grand angle à l’objectif macro jusqu’au téléobjectif. J’ai aussi un drone Mavic 3 ainsi que pas mal d’accessoires, des trépieds et des micros pour avoir un son de qualité pour filmer les cascades !« 

L’objet sans lequel tu ne sors jamais pour faire des images

« Sans aucun doute mon trépied puisque à la base je suis photographe donc pour faire des pauses longues, c’est indispensable. Mais cela peut, peut-être, vous surprendre mais je ne sors jamais filmer sans une bonne paire de chaussures de randonnée étanche parce que pour filmer des cascades il faut se mouiller les pieds ! »

Tes spots

« Mes spots favoris sont forcément à la montagne parce que sans dénivélé, il n’y a pas de cascades. Et je me suis aperçue que finalement ce que je préfère c’est la moyenne montagne comme les Vosges, le Jura ou l’Auvergne. Visuellement il y a bien plus de végétation autour des cascades que dans les Alpes ou les Pyrénées par exemple. Cela rend l’endroit magique et beaucoup plus jolie à regarder d’après moi.« 

Un plan dont tu es particulièrement fier

« La réalisation dont je suis le plus fier c’est la sortie de mon guide : 60 cascades du Massif du Jura aux éditions Cépaduès ! C’est la synthèse de 15 ans de travail, d’une région qui met cher car c’est là que j’ai découvert ma passion pour les cascades. Pour compléter ma démarche avec mon site, je me suis rendu compte que lorsqu’on est dans la nature, on a pas très envie de passer son temps sur son téléphone. J’ai donc décidé de sortir un livre et je pense que c’est beaucoup plus pratique d’avoir un guide papier à la main que de consulter les données sur internet. C’est un guide qui fait 208 pages, avec 60 cascades dans les départements de l’Ain, du Doubs et du Jura. On y retrouve les plus connues comme les cascades du Hérisson ou les différentes cascades de Tufs. Mais également des cascades que personne ne connait parce que finalement les cascades secrètes sont parfois les plus intéressantes et les plus jolies.« 

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PORTRAIT DE VIDÉASTE – CÔME ROQUETAILLADE

 » J’ai la chance d’habiter à côté de la frontière Suisse, C’est vraiment des endroits magnifiques et ultra-fournis en spots justement. On a des montagnes, des forêts, des cascades, tout ça loin des villes. Donc on risque d’embêter personne ! C’est vraiment un terrain de jeux infinis que ce soit pour la photo, la vidéo ou le drone fpv.”.

Côme Roquetaillade

Le  programme Team Wonder France  vise à faire découvrir des vidéastes talentueux au service des territoires, de partager leurs expériences, leur matériel et leurs spots. 

Peux-tu te présenter ?

« Je m’appelle Côme, j’ai 23 ans, je viens de Lyon et actuellement j’habite dans le Haut-Jura à côté de la frontière Suisse ! » J’ai une formation de Bachelor en communication et Création numérique. Je me suis également énormément investi personnellement pour développer mes compétences de vidéaste.

 Quelle est ton approche de la vidéo ?

Je suis photographe et vidéaste professionnel.  J’ai travaillé pendant 2 ans dans un studio de production au sein d’une agence de communication en Suisse. J’ai eu l’occasion de travailler avec des clients et de faire des projets extrêmement variés que ce soit dans le tourisme, le corporate, des interviews, des reportages, des évènements. A présent je travaille pour la ville de Genève pour laquelle je produis tous les contenus photo et vidéo pour promouvoir la ville à l’échelle mondiale.

En paralèlle  je me suis aussi mis au pilotage de drone FPV.  C’était une discipline qui m’attirait depuis plusieurs années, mais j’ai attendu d’avoir une situation un peu plus stable pour me lancer. Les drones FPV sont des drones non-stabilisés qui permettent de faire des loopings, des plongeons sans aucune restriction. Ce sont des drones qui, pour la plupart, vont à plus de 100km/h et se pilotent avec un casque dans lequel on a un retour direct du drone lorsqu’il est en vol. Mon domaine de prédilection c’est sans aucun doute les vidéos cinématiques, accés sur le tourisme et les sports extrêmes. »

Peux-tu présenter ton matériel ?

J’ai un Fuji Film XT3 avec lequel je filme actuellement, un stabilisateur Ronin RSC2 , des filtres ND et toute sorte d’accessoires qui me permettent de produire des vidéos qualitatives. Côté FPV, j’utilise des drones que je monte moi même, ça me permet de pouvoir les réparer si besoin en toute autonomie après les crashs. J’achète les composants et je les soude entre eux pour créer des drones qui correspondent parfaitement à mes besoins. Par contre sur mes cornes je fixe une gopro Hero 10 qui me permet d’enregistrer mes vols avec la meilleure qualité possible. En logiciel de montage j’utilise Adobe Première Pro, After Effects pour les VFX et DaVinci Resolve pour la colorimétrie. J’ai vraiment développé mon workflow, autour de ces 3 logiciels qui sont pour moi les références dans le milieu. Pour les musiques je trouve tout sur la plateforme Artlist, c’est que des musiques libres de droit. Tu payes un abonnement et tu as accès a une bibliothèque quasiment infini donc c’est vraiment le top pour moi.« 

L’objet sans lequel tu ne sors jamais pour faire des images

Alors cela change pas mal en fonction des moments et des besoins mais à l’instant T je dirais la Gopro 10. C’est vraiment un bijou de technologie, condensé dans une mini caméra, ultra résistante et qui permet d’enregistrer dans une qualité folle. En plus si on couple ça avec tous les accessoires disponible on peut vraiment créer des plans ultra créatifs et c’est vraiment ça que j’apprécie chez Gopro. C’est aussi la caméra que je fixe sur mes drones FPV donc c’est vrai qu’en ce moment, je sors jamais sans elle.

Tes spots

« J’aurai pas de spots particuliers à vous donner mais globalement toute la région du Haut- Jura, la Suisse. J’ai la chance d’habiter à côté de la frontière, C’est vraiment des endroits magnifiques et ultra fournis en spots justement. On a des montagnes, des forêts, des cascades, tout ça loin des villes. Donc on risque d’embêter personne ! C’est vraiment un terrain de jeux infinis que ce soit pour la photo, la vidéo ou le drone fpv.”.

Ses spots favoris :

  • La Dôle dans le Jura Suisse
  • Grindelwald en Suisse
  • Le Lac des Rousses dans le Jura français
  • Lyon

Un plan dont tu es particulièrement fier

Je pense qu’un des plans dont je suis le plus fier, c’est le plan en drone FPV ou je descend le long d’une remontée mécanique, durant l’hiver. Il faisait froid, il y avait de la neige et j’étais vraiment loin de l’endroit où j’avais décollé donc autant vous dire que je n’avais pas le droit à l’erreur. Et je me souviens d’avoir eu une adrénaline de fou au moment du vol et quand je suis arrivé en bas, c’était l’explosion de joie. Vraiment je crois que je m’en souviendrais pendant très longtemps

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